

Ici, chaque agriculteur livre son lait personellement à la coopérative que Gaëlle, la fromagère transforme sans attendre : du reblochon ou de la tome, vous avez le choix. Les horaires de livraisons sont bien définis, mais certains dépassent souvent l'heure... Donc prévoir des chocolats pour calmer la colère de la fromagère...
4 commentaires:
eh bien! ça ne doit pas être facile tous les jours! mais quel beau métier de faire de si bon fromage et de satisfaire les papilles des gourmandes de tomme comme moi!!
plein de bisous des Vosges
Un jolie et talentueuse photographe,une jolie et talentueuse fromagère, mais que se cache t-il là-dessous? Un air de famille peut-être!?
Encore bravo pour ces belles photos de l'ancien temps actuel!
Merci pour ces messages, et vive l'agriculture!!! et surtout chapeaux à ceux qui se lancent...
Alice
Bravo à Alice et à son clône (je veux dire la fruitière, heu, c'est à dire le fruitier au féminin).
Mêmes ces photos, elles sentent la fruitière (là, je veux dire la coopérative laitière), le lait qu'on brasse, les outils qu'on manipule, les gestes minutieux.
Moi qui suis un exilé des montagnes, un fils d'éleveur de tarines, un défenseur des fruitières, je suis particulièrement ravi de voir se perpétuer la tradition fromagère.
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