On vous le souhaite bon, votre Noël!


C'est Chloé, une charmante petite vosgienne, qui l'a dit...

La fruitière



Ici, chaque agriculteur livre son lait personellement à la coopérative que Gaëlle, la fromagère transforme sans attendre : du reblochon ou de la tome, vous avez le choix. Les horaires de livraisons sont bien définis, mais certains dépassent souvent l'heure... Donc prévoir des chocolats pour calmer la colère de la fromagère...

Le bon, la brute et le bio


Le bon, c'est le reblochon, dégusté entre amis.
La brute, c'est celui qui ne sait pas apprécier la pause reblochon, pain et prune chez Rohan.
Le bio, c'est Dimitri, un autre jeune agriculteur, qui livre son lait bio à la coopérative laitière du village voisin. En panda 4*4, attention!

Rohan, en très haute Savoie




«Quelquefois, ce n'est pas facile, mais je ne ferais rien d'autre»... Voilà, tout est dit, Rohan a parlé. On sait ce qu'il pense du métier.
Il est installé depuis juillet 2005 avec un troupeau de 60 Montbéliardes. Le lait est vendu pour faire du reblochon. Après la traite, la pause: reblochon, pain et prune, bon appétit. Et merci pour ton accueil!

Des nouvelles depuis tout ce temps...





Voilà, l'été est passé et bientot l'automne aussi... Et je n'ai pas eu le temps de mettre un petit messsage. Donc je me rattrape, pour vous monter que je ne chôme pas! D'abord des nouvelles de l'expo de cet été dans les Vosges. Pas mal passé et surtout j'ai eu des retours par rapport à mon travail. Des mots comme bonheur simple, poésie ou des petits mots sympas m'ont vraiment fait plaisir.
Allez quelques retours et en plus, je suis passée dans le journal!!!

L'avoine est folle...


...comme le temps, vous ne trouvez pas? Sinon, le blog risque d'être en vacances ces temps qui arrivent. En effet, cet été s'annonce chargé...en prises de vue! Donc rendez vous à la rentrée pour de nouveaux portraits de jeunes paysans. Bonnes vacances et bonnes récoltes. AlïcE

L’artisan vigneron masqué démasqué



Jean- Philippe, ce n’est pas encore tout à fait un jeune agriculteur, mais il espère bien que ça lui arrivera un jour. Pour l’instant il travaille dans un prestigieux domaine viticole de la Cadière d’Azur, un beau village de l’AOC Bandol, dans le Var. Mais que fait ce jeune bourguignon de 25 ans en Provence ? Et bien du vin, et du fameux, du vrai Bandol : profond, riche de nuances et de notoriété internationale… Tout comme le maître de chaix qui sait recevoir amateurs et journalistes étrangers… Et qui sait également s’expatrier en Uruguay par exemple, où sa sympathie et son savoir-faire de vigneron ont fait l’unanimité. A quand l’Argentine ?

Devinette...


Allez, à vos propositions, quelle race?, quelle région? Ne ronchonnez pas, il y a les indices nécéssaires et ne copiez pas les uns sur les autres.

En attendant les JA, des salers du Cantal...


Merci à tous pour vos encouragements. Là c'est temps mort dans le blog: fin d'année scolaire bien remplie. Mais je ne chôme pas: préparation de l'expo, portraits de Ja charentais en fabrication... A très vite.

Sébastien, le philosophe éleveur de moutons de l’Allier.



Éclectique, philosophe et maître chien. Et accueillant aussi. Et créateur de chaussures à modèle déposé.

Le chevrier du stade Vélodrome


Elever des chèvres du Rove? Oui, mais pas loin du fief de l'OM...Et oui, il faut quand meme amortir l'abonnement! Dédicace à Mathieu du 13 et à son projet d'installation. Bonne chance.

La moisson chez Bébert



Pour sortir de la neige, faisons un petit retour dans le temps, chez Bébert dans les Vosges. Après la moisson dans les immenses champs de la région, une petite sièste s'impose...

Isabelle, le vin au féminin



En hiver, dans les vignes charentaises, il arrive que le vent souffle aussi fort que le soleil brille. Le vent s’engouffre partout et emporte de la poussière de neige avec lui. Et pourtant, les viticulteurs comme Isabelle s’activent. Il faut bien tailler et tirer les bois. Isabelle n’était pas destinée à reprendre l’exploitation de son père, elle avait même commencé des études de biologie. Puis elle a eu un déclic, elle s’est engagée dans un BTS Viti-Oeno pour ensuite reprendre l’exploitation familiale. Si son installation au féminin a suscité la curiosité, elle ne s’est pas laissée décourager par les responsabilités. Isabelle est actuellement à la tête de 13 ha de vigne : 11ha de cépage Ugni Blanc pour le Cognac et 2 ha de Sauvignon qu’elle vinifie pour faire du vin de pays. Pour elle, le métier ne se résume pas à la production mais doit aussi intégrer l’information et la prise de décision. C’est pourquoi elle est très investie dans les organismes agricoles comme le Syndicat des Vignerons de Cognac, la MSA ou la Chambre d’Agriculture.

Pierre en dé [taille]



C’est l’hiver en Charente, les noyers se reposent de leur production automnale. Cependant, tout le monde ne chôme pas : Pierre, armé de son sécateur, s’occupe de leur refaire une beauté. Alors qu’il taille avec amour ces jeunes noyers , il explique ses projets et sa perception du métier de paysan.
Après des études d’histoire et un temps dans le journalisme, Pierre a pris sa décision : il s’installe. Son projet est mûrement réfléchi et découle d’une perception engagée de l’agriculture : pour lui, son système de production doit être biologique, qualitatif et proche des consommateurs.
Il veut développer la production de noix AOC Noix du Périgord commencée par son père et remplacer l’atelier laitier actuel par des vaches allaitantes. Les noix de tables (variétés Franquette et Grandjean) ainsi que l’huile sont actuellement vendues à la coopérative et en partie en vente directe, forme de commercialisation qu’il veut privilégier.
Pierre raconte volontiers sa région et son métier. Ainsi , on n’est pas étonné quand il dit vouloir créer par la suite une ferme pédagogique : paysan n’est-ce pas le plus beau des métiers ?

Bonne récolte en vue...


Qui a dit que les Vosges n'étaient pas une terre à céréales?

L'arche d'Alexandre



Si vous suivez Alexandre, vous approcherez des Highlands velus dans les prairies de Haute Vienne, des moutons d’Ouessant bien vifs (ou morts en carcasse de 8 kg…), des Southdown forts sympathiques et d’autres joyeux moutons.
Vous l’avez compris, Alexandre aime la diversité, chercher et trouver des nouveautés, goûts qu’il a sans doute aiguisés lors de ces nombreux voyages comme en Nouvelle-Zélande.
Si la perspective de s’installer artisan-paysan est bien là, il réfléchit à un système d’élevage qui lui convienne : efficace et plaisant. En attendant, il partage sa passion avec de futurs éleveurs au CFPPA de Bellac (87) en tant que formateur.
Merci pour ton accueil.

Pour une année haute en couleur!


Chers amis, paysans ou non
C'est avec beaucoup de plaisir que je vous souhaite une très bonne année 2000 SEPT. Qu'elle vous soit souriante, généreuse en quintaux, hecto et kg de carcasse. Et surtout pleine d'amour. Sinon, on ne rajeunit pas comme disait l'autre...
Pièce jointe: autoportrait un petit matin d'été dans les Vosges.